Forum consacré à la gladiature, reconstitution de combats, discussions théoriques, technique de combats, analyse d'iconographies... |
| | PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. | |
| | Auteur | Message |
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Damianus
Messages : 11 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Lun 17 Oct - 12:38 | |
| Bonjour à tous! Je ne viens que très rarement sur ce forum mais je ne pouvais pas me permettre de l'oublier. Un peu en annexe du thème du forum sur la gladiature mais au sujet toutefois lié, je vous fais part de la parution chez Prétorien pour les mois d'Octobre-Décembre de la première partie d'une série d'articles que j'écris sur les modes de combats du légionnaire du IVe-Ve siècle de notre ère (ce que l'article en couverture n'indique pas...) Comme transitent ici pas mal de pratiquants et praticiens du combat au moins gladiatorien, je ne vais donc pas retranscrire ici le long préambule que j'ai posté ailleurs sur d'autres forum pour introduire la sortie de mon article. Toutefois, ce projet est l'aboutissement d'un long travail de recherche (13 ans pour ma part) en interaction avec des milieux très variés, et préambule à une future édition livresque. Il prend ici la forme d'articles de vulgarisation mais s'évertue à rester le plus honnête possible avec le lecteur dans le stricte respect des sources parvenues jusqu'à nous. Si le thème des modes de combats de l'Antiquité est plus que jamais à la mode, j'ai longtemps attendu de lire de bonnes études sur la période tardo-antique à l'exception peut-être de la tactique, bien que toujours très rare. Rien sur les modes de combats à proprement parler. Au fil des années, il m'est apparu que je ne lirai pas un tel travail sans l'écrire moi-même. C'est pourquoi cet article comme ceux suivront prennent comme ancrage le IVe-Ve siècle plutôt que plus classiquement le Haut-Empire. Vu l'ampleur du sujet et par souci de cohérence, je pars donc de l'homme comme plus petite unité combattante au sein de la ligne de bataille. Pour se faire le premièr article concerne donc le couple spatha/scutum. Tentant de briser au passage pas mal d'idée reçue véhiculée par l'historiographie moderne parfois très éloignée des considérations les plus pratiques. Le second abordera l'usage de la lance, puis les armes de jets avant de terminer avec les formations collectives. Voici pour le plan d'ensemble. Peut-être n'apprendrez vous rien de nouveau sur le plan pratique à la lecture de cet article, mais j'espère que l'analyse historique vous intéressera. J'en appelle aussi aux praticiens qui sont ici pour me donner leurs avis. Cependant, quelles différences au final avec ce qui a pu être déjà écrit ailleurs en matière de vulgarisation dans d'autres magasines? D'abord, je n'hésite pas à citer les sources au maximum, le croisement de celles-ci qu'elles soient littéraires, lapidaires, picturales ou monumentales est au coeur de ma démarche même si le format du magasine implique des choix. Aucune hypothèse émise sans tableau exhaustif (que certains trouveront peut-être rébarbatif mais primordial) Chacun de mes articles décrivent une théorie d'ensemble très large, ce qui implique que chaque notion ou concept évoqué est expliqué et analysé, ce qui n'est quasiment jamais fait dans les articles de vulgarisation que j'ai pu lire jusqu'ici. Ma théorie du combat n'en sera donc, je l'espère, que plus manifeste en lecture complète. Une Théorie certe, mais à l'épreuve de l'expérimentation, du moins d'une expertise possible sur retour d'expérience sensitive. Je n'aime pas parler d'archéologie expérimentale dans ce domaine, trop galvaudé de part et d'autre... Donc pour moi l'expérience, la reconstitution matériel ne sont que des supports, un moyen mais jamais une fin en soit. Vous le comprendez facilement à la lecture de la problématique soumise en introduction de mon premier article. Je pars des sources pour y revenir mais je reste sur elle, et ne tente pas de réinventer ce qui est déjà connu ou de poser des hypothèses biaisées. Et surtout mes constructions hypothétiques ne sont jamais systémiques, impossible de toute façon pour le période des IVe-Ve siècle. J'espère que cet article vous intéressera, du moins vous interpellera, et je suis prêt à lire ici vos observations, remarques et critiques, elles sont les bienvenues. A plus!
Dernière édition par Damianus le Ven 29 Juin - 15:18, édité 3 fois | |
| | | Achillia Admin
Messages : 1092 Date d'inscription : 06/10/2010 Age : 38 Localisation : Strasbourg
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Lun 17 Oct - 17:53 | |
| Sujet déplacé dans le Capharnaüm.
Félicitations pour ton article, néanmoins je déplore que ton unique message sur ce forum ne soit que pour le promouvoir et que ça ne parle pas de gladiature. | |
| | | Damianus
Messages : 11 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Mar 18 Oct - 15:07 | |
| J'avoue que mon intervention est essentiellement promotionnelle, c'est vrai.
A ma décharge, il faut dire qu'en dehors du thème lui-même, assez porteur, l'armée romaine tardive n'étant pas ce qui passionne le plus ni le grand publique ni même le milieu de la reconstitution classique, j'aurai été bien maladroit de ne pas en faire la publicité.
Du reste, sans en être le sujet (forcément...) l'article évoque à plusieurs reprises la gladiature au moins pour opérer le distinguo entre duellistes et combattants au sein d'un collectif. Les différences inhérentes à une base commune, ne serait-ce que pour resituer dans son contexte la célébre citation d'Ammien Marcellin. Entre autres choses...
Evidemment, je déplore aussi de ne pas plus échanger sur ce forum, par ailleurs intéressant, comme sur d'autres. Comme tu le sais, je suis déjà présent sur le forum consacré à l'Antiquité Tardive sur lequel j'échange et communique énormément d'informations. Mais on ne peut pas se spécialiser dans tout. Toutefois si il se développe ici une petite céllule consacrée à la gladiature de l'époque tardive, je serais heureux d'en apprendre plus sur le sujet.
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| | | Achillia Admin
Messages : 1092 Date d'inscription : 06/10/2010 Age : 38 Localisation : Strasbourg
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Mar 18 Oct - 17:44 | |
| - Damianus a écrit:
Evidemment, je déplore aussi de ne pas plus échanger sur ce forum, par ailleurs intéressant, comme sur d'autres. Comme tu le sais, je suis déjà présent sur le forum consacré à l'Antiquité Tardive sur lequel j'échange et communique énormément d'informations. Mais on ne peut pas se spécialiser dans tout. Toutefois si il se développe ici une petite céllule consacrée à la gladiature de l'époque tardive, je serais heureux d'en apprendre plus sur le sujet.
Si tu as matière pour commencer le sujet, je me ferai un plaisir de rajouter une rubrique Quoiqu'on puissé déjà en discuter dans la partie Gladiature. C'est une période intéressante qu'il est, c'est vrai, dommage que nous n'ayions pas encore abordé. Je vais demander l'avis des autres membres Rubriques Suggestions Quoiqu'il en soit, bravo pour ton article. | |
| | | Damianus
Messages : 11 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Mar 3 Jan - 16:16 | |
| Voici au numéro 21 du magasine Prétorien pour les mois de Janvier-Mars 2012 le deuxième volet de ma série, cette fois consacré à l'usage de la lance dans l'armée romaine tardive. Je remercie encore une fois Bernard Sadoun et Natalia Griffon pour l'interêt qu'ils portent à mes écrits. Si l'emploi de la spatha et du scutum lève "assez facilement" toute ambiguité après analyse des sources, il n'en va pas du tout de même pour l'hasta romaine. Bête objet à l'imagerie sur-représentée, arme commune à l'emploi allant de soit... Que nenni! Toujours dans la logique qui soutien ma démarche, j'ai tenté de mettre en lumière, et ce, avant toute chose, la difficulté d'appréhension de l'objet pour le moderne face à la profusion d'informations subtiles et contradictoires. Que la source de référence soit de langue grec ou latine, toute la complexité est là; Lorsque nous parlons de l'hasta ou de la lance de quelle arme parlons nous vraiment? Ou plutôt à quelle arme pense l'auteur quel que soit sa provenance lorsqu'il donne à la lecture un descriptif à vocation exemplaire ou historique? Sachant in fine que les déterminants de son utilisation résident principalement dans l'éclaircissement de zones d'ombres et dans l'analyse d'éléments très parcellaires, Beaucoup des aspects concourrant à l'esquisse d'une (ou plusieurs) méthodes de combats resteront sans doute de l'ordre de l'évidence pour l'auteur ancien ou le soldat contemporain et un mystère pour l'homme du XXIe siècle. Gros travail donc sur des sources de toutes natures, qui prisent individuellement parlent peu, et en premier lieu sur les sources littéraires qu'il a fallu élargir sur une échelle chronologique assez large sans quoi nous aurions eu une sérieuse perte de sens pour l'ensemble de l'exposé. Beaucoup de questions restent donc en suspens, ce que je n'hésite pas à signaler et je suis sûr que de plus large études dans un cadre académique s'avéreraient absolument passionnant. Passé cet aspect essentiel, il ressort selon moi qu'il n'existe pas une seule lance romaine comme il n'existe pas une seule méthode de combat. Aborder le sujet de la pratique de cette arme revient donc à faire beaucoup plus dans la nuance qu'on pourrait le croire. Il est impossible pour moi d'avancer des formulations aussi catégoriques que peuvent l'être certaines interprétations de la vulgate actuelle. L'outil militaire romain brille encore par son adaptabilité situationnelle qu'une sédimentation d'une pratique martiale sur le terrain rendrait fatalement vulnérable. Toutefois je n'hésite pas à prendre parti et exposer mes hypothèses personnelles car des constantes se dégagent aussi certainement que certaines variables. Les prises de lance se vérifient, la position initiale du combattant, la longueur de la lance ayant une signification technique. Sur le plan tactique, un dispositif rationnel et élaboré, la différentiation essentiel entre le combat en ligne et le combat duel avec en toile de fond la question relative à l'autonomie du combattant dans sa ligne, les options offertes par l'emploi simultané du bouclier... Plutôt qu'une armée monolithique ou un légionnaire invariablement armé de l'hasta, dont l'usage serait très restrictif pour ne pas dire statique, il apparait pour moi, au contraire un équilibre tactique consciemment pensé par les romains entre ses capacités de choc et de tir. le collectif étant le fil conducteur des modes de combat du légionnaire. Je reviendrais sur les normes de ce type de combat dans ma quatrième partie, quoique à plusieurs reprises j'ai du néccessairement anticiper sur cette question. La troisième sur les armes de jets est arrivé à la rédaction du magasine. J'espère que cet article vous plaira autant que le premier, je remercie au passage Benjamin de l'association Letavia pour ses clichés du dépot de Nydam. Je remercierai encore tout ceux qui m'ont aidé à la réalisation de cette série à la fin du quatrième volet auquel viendra s'ajouter un important encart sur l'apport et les limites de la reconstitution historique. Bonne lecture! | |
| | | Damianus
Messages : 11 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Lun 9 Jan - 13:22 | |
| ERRATUM!
A la page 39, lorsque j'évoque la supériorité des romains à la lance chez Hérodien la référence au livre IV est fausse. Ce n'est pas une coquille du magasine mais une erreur de ma part. L'anecdote figure bien au livre IV non pas en 10, 3 mais en 18, 3. J'aurai dû mieux vérifier...
On pourra s'étonner que je n'évoque pas dans cet article même rapidement l'Hasta des triaires de la légion manipulaire. Si je n'ai pas souhaité remonter si haut c'était pour éviter un développement inutile (à mon sens...) sur l'armée républicaine qui se serait imposé à moi. Pour fil conducteur, j'aurai pu citer de même Tacite pour le Ier siècle de notre ère (pour la mention du Contus...), mais là aussi j'ai dû faire un choix pour mon exposé en tentant de le garder le plus claire possible. J'ai donc dû sélectionner les sources quitte à passer sur quelques mentions intéressantes pour mieux reserrer sur celles d'époque tardive. Pourquoi ne pas avoir plus suivi Wheeler que je ne l'ai fait? D'abord j'espère en avoir garder l'essentiel car le développement de Wheeler sur la lance est extrêmement érudite pour une conclusion très simple: Kontos = Dory = Hasta! Peut-être aurai-je alors considérablement alourdi l'article dont la part conséquente se devait d'établir avant tout l'hypothèse de travail autour de l'utilisation de l'hasta. Enfin, pourquoi ne pas avoir osé une estimation de la taille de l'Hasta moins abstraite que celle que je propose? D'abord parceque je crois sincèrement que je reste au plus juste sans estimation plus stricte aussi parceque je garde quelques considérations supplémentaire pour la quatrième partie. | |
| | | Damianus
Messages : 11 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Lun 7 Mai - 11:49 | |
| Je vous fais part de la sortie au mois d'Avril du troisième volet de ma série consacré aux techniques de combats individuelles et collectives de l'armée romaine des IVe - Ve siècle. Cette fois-ci, sur les armes de Jets employées par l'armée romaine. Bien que l'unanimité soit faite sur l'idée que l'utilisation des armes de jets se développe fortement dans l'armée romaine tardive, vous serez peut-être surpris d'apprendre qu'il n'existe à l'heure actuelle aucune étude historique sur celles-ci. Sur le plan archéologique par contre, les armes de jets ont largement été répertoriées et analysées mais il n'existe aucune théorie ni chrono-typologie établies, à l'exception peut-être des recherches d'un archéologue serbe qui va dans ce sens. A mon niveau, J'ai donc procédé à un inventaire de l'arsenal romain, une tentative d'analyse, et plusieurs hypothèses d'utilisation d'armes spécifiques. Surtout je m'attache à identifier la fonctionnalité de certains types d'armes quand cela s'avère possible, car en effet, les armes de jets n'étaient pas employées par n'importe qui ni n'importe comment durant la bataille. N'étant pas non plus un des aspect privilégié par les reconstituteurs j'espère vraiment répondre à de nombreuses questions, et bien sûr, en susciter d'autres... Les épisodes 4 et 5 sont déjà à la rédaction du magasine et seront cette fois consacrés à l'ordre de bataille romano-tardif, aux figures tactiques et formations collectives ainsi qu'aux principes qui les sous-tendent. La partie 4 sortira en Juillet, je sais que ce thème est très attendu par nombre d'entre vous, j'espère que vous ne serez pas déçu. | |
| | | Damianus
Messages : 11 Date d'inscription : 08/10/2010
| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. Ven 29 Juin - 15:19 | |
| Bonjour à tous ! Paraît pour la période du mois de Juillet – Septembre le numéro 23 du magasine Prétorien sur l’armée romaine de l’antiquité tardive en ordre de bataille, deuxième volet de ma série d’étude consacrée aux techniques de combats, cette fois-ci basée sur les ordres de batailles généraux usités à cette époque et aux formations collectives. Des échos que j’ai pu en avoir, cette partie est assez attendue d’un certain nombre de reconstituteurs de notre petit milieu. Pour ne pas décevoir je l’ai donc voulu comme pour les articles précédents aussi complets et exhaustifs qu’il m’est possible, sachant que pour cet article en particulier, il m’apparaissait important de ne pas rééditer ce qui a déjà été excellemment écrit ailleurs en terme de vulgarisation par Yann Le Bohec et Philip Richardot. Donc pour moi, deux lignes directrices à tenir : Le souci de m’adresser avant tout au reconstituteur et d’aller au delà du simple descriptif évocateur. Malgré tout, l’étude des tactiques de l’armée romaine connaît une prestigieuse antériorité que je n’ignore pas, je me suis donc appuyé entre autre et à titre d’exemple sur les actes du colloque de Lyon de 2002 sur lequel se base déjà le dernier ouvrage de Le Bohec sur l’armée romaine du Bas-Empire et bien sûr sur la récente thèse de Sylvain Janniard a qui je dois beaucoup. Evidemment, l’essentiel reste issu de mes propres recherches et de mes conceptions personnelles quand je ne m’écarte pas complètement de notions académiques acquises de longues dates. Vous le remarquerez sans doute par certains endroits… (EX : Je ne place pas les dizainiers en tête au combat… Nous pouvons en discuter…) Pour faciliter l’appréhension du sujet j’ai donc abordé l’ensemble des composantes théorico-pratiques de l’armée romaine en ordre de bataille comme une focale d’abord macroscopiques puis resserrant de la ou les légions dressées pour la bataille vers la ligne et le combattant individuel. Il m’a donc fallu traité pour beaucoup les aspects organisationnels de cette armée romaine tardo-antique et avant tout dégager les constantes de la bataille rangée au IVe siècle en faisant attention de ne pas la couper de ses antécédents de la fin du IIe et du IIIe siècle de notre ère. Enfin montrer quels étaient les aspects tactiques relevés qui perduraient dans le temps au delà du IVe siècle. Après cela, des notions importantes devaient être abordées malencontreusement et trop souvent amalgamées dans notre milieu. Qui combat en première ligne ? Les rôles et les positions tactiques des officiers et des soldats d’élites. L’action des lignes arrières. Celle des réserves, de la différenciation entre le Cuneus tactique et la tête de porc. L’extrême importance des auxiliaires palatins (trop souvent oubliés ou simplifiés plus que de raison…). Qui sont ces soldats, comment sont-ils équipés. Plus loin encore dans les hypothèses émises sur la composition structurelle des cohortes (à peine évoqué dans le livre de Le Bohec mais suffisamment pour me mettre sur la piste…) légions et centuries romano-tardives avec forces schémas (que j’espère claires et réussis parce qu’un poil longuets à constituer…). Enfin la pérennité du système notamment dans son héritage proto et méso-byzantins. Ex : Pourquoi « utiliser » Procope pour étayer l’idée que la légion et son organisation perdure au delà du VIe siècle alors que les dires de Procope tiennent de l’anecdotique qui plus est dans le contexte, sujet à caution, alors que nous avons les correspondances papyrologique de plusieurs unités militaires en Egypte pour la même période qui confirme avec force détails l’existence du fait… J’espère donc avoir apporté de l’inédit et un support supplémentaire au milieu de la reconstitution historique tardo-antique ayant soin d’organiser et d’articuler de manière cohérente l’entraînement de ses membres associatifs, voir de privilégier une réflexion interne proche d’une démarche expérimentale si cet aspect fait sens dans notre activité. Enfin et plus modestement un bon article reflétant au mieux ce qui est pour moi l’originalité et la spécificité de l’armée romaine tardive… Le dernier article qui clôturera ma série se concentrera sur les modes opératoires des formations collectives offensives et défensives de l’armée romaine tardive et… il devrait vous étonner. Bonne lecture à tous. | |
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| Sujet: Re: PRETORIEN N°20,21,22,23: Mode de combat du légionnaire. | |
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