Nous n'avons pas, il me semble, de preuves concrètes quant aux coups interdits en gladiature. Mais la présence d'un arbitre veut certainement dire qu'il y en avait.
Dans tous les cas les coups mortels portés volontairement étaient prohibés.
Etant donné que la proportion de risque que cela arrive augmente fortement lorsque les deux combattants " s'emmêlent " en corps à corps, l'arbitre devait immédiatement les séparer.
- Citation :
- Y-avait-t-il une durée de combat
Je ne pense pas.
Une durée suffisamment longue pour satisfaire les spectateurs était fort souhaitable, pas trop longue non plus pour ne pas les ennuyer, mais cela, c'était l'affaire des combattants. l'arbitre n'était là que pour les haranguer s'ils montraient trop de mollesse, mais il n'avait pas d'impact sur la durée du combat.
- Citation :
- la possibilité de changer d'arme en cours de combat suite à un incident?
Pourquoi pas. Au même titre que n'importe quelle autre pièce d'équipement, si une arme ( ou un lacet, une courroie, un bouclier... ) venait à casser, je pense effectivement qu'on apportait un élément neuf au combattant. Ne pas le faire le placerait en condition d'infériorité, ce qui serait contradictoire avec l'équilibre qui est recherché dans un combat de gladiature.